Les signes du temps. Les vents
Théophraste
La réunion dans ce volume des deux ouvrages de Théophraste, Les Signes du temps et Les Vents se justifie à la fois par la proximité de leur sujet et par leur situation chronologique : le second (vers 310 av. J.C.) renvoie explicitement aux Signes (333-330) en précisant (§ 5) « la question des pluies a été traitée ailleurs plus longuement ». Au préambule modeste qui sied à la jeunesse de l'auteur, succède un développement en quatre parties liées par des formules de transition : les signes de pluie, de vent, de tempête et de beau temps. On y remarque la finesse de l'observation directe non seulement du ciel, mais aussi du comportement des animaux, sauvages ou domestiques. Les Vents s'en distinguent par un élargissement du secteur géographique considéré et surtout par l'analyse, généralement pertinente, des phénomènes météorologiques au sens moderne du terme. (présentation éditeur)</p>
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