Quand la peinture fait réfléchir la science
Tardieu, Françoise
Année de publication
2025
Depuis la fin du XVIIIe siècle, on observe, avec l'avènement de la peinture de paysages, un intérêt marqué pour les variations météorologiques, tant pour fixer, pour son esthétique et/ou pour l'état d'âme qu'il suscite, un état momentané de l'atmosphère, calme comme un ciel moutonneux, ou violent, tels une tempête ou un éclair, que pour approcher la compréhension de ces phénomènes.</div>
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