Revue du souvenir napoléonien n°540
Editorial : <span class="x193iq5w xeuugli x13faqbe x1vvkbs x1xmvt09 x1lliihq x1s928wv xhkezso x1gmr53x x1cpjm7i x1fgarty x1943h6x xudqn12 x3x7a5m x6prxxf xvq8zen xo1l8bm xzsf02u x1yc453h" dir="auto">Entre côté clair et côté sombre, cette livraison de la RSN lève le rideau sur deux aspects essentiels du gouvernement de Napoléon : l'attention portée à la formation, en l'occurrence ici celle des jeunes filles pensionnaires des Maisons d'éducation de la Légion d'honneur, avec le concours de madame Henriette Campan, thème sur lequel nous nous appesantirons le 9 novembre prochain, à Marseille, à l'occasion de notre colloque national portant sur « le développement de l'instruction publique du Consulat au Second Empire » ; la résistance aux oppositions politiques incessantes, illustrée ici par l'affaire du duc d'Enghien, un des moments capitaux dans la détermination du Premier consul à briser le retour de la monarchie et à justifier la place de la République française dans le concert des nations européennes. Dans l'air du temps, nous découvrirons aussi l'invention de la météorologie et nous flânerons de résidences royales au théâtre des jeunes artistes, sans oublier que ces années furent aussi celles de la guerre comme nous le rappelle ici un conscrit et comme on se souvient du deux cent-dixième anniversaire de la belle victoire de Reims. Je remercie ainsi les auteurs pour la qualité de leurs textes qui, par la diversité qu'ils offrent à la RSN, accompagnent la vie active de nos délégations, pour qu'ensemble vive le Souvenir napoléonien.</span></p>
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